La présidente de la banque centrale américaine, la Fed, affirme que la reprise de l’économie va s’accélérer légèrement cette année, alors même que le chômage diminuera progressivement.
Lors d’une prestation devant la Commission économique conjointe du Congrès mercredi, Janet Yellen a ajouté que l’économie se redresse après un hiver si rude qu’il a fortement comprimé la croissance au premier trimestre 2014.
Même si elle est optimiste, Mme Yellen entend poursuivre un haut niveau d’assouplissement monétaire en raison notamment de la mollesse du marché de l'emploi et du bas niveau de l'inflation. En d’autres mots, la Fed va maintenir ses taux d’intérêt directeurs à des niveaux très bas, d’autant que l’inflation reste inférieure à 2%, ce que nombre d’économistes considèrent comme « sain » pour l’économie.
Pourtant, la productivité non-agricole aux Etats-Unis a baissé plus qu'attendu au premier trimestre 2014, du fait de la météo peu clémente. Ce qui a provoqué une accélération des coûts unitaires de la main d'œuvre, selon la première estimation publiée mercredi par le département du Travail. Reste à voir si cette baisse de la productivité se traduira par une poussée inflationiste.
Par ailleurs, la présidente de la Fed s’inquiète de la menace que les tensions géopolitiques font peser sur la reprise, de même que les incertitudes qui affectent toujours le marché de l’immobilier aux Etats-Unis.
Lors d’une prestation devant la Commission économique conjointe du Congrès mercredi, Janet Yellen a ajouté que l’économie se redresse après un hiver si rude qu’il a fortement comprimé la croissance au premier trimestre 2014.
Même si elle est optimiste, Mme Yellen entend poursuivre un haut niveau d’assouplissement monétaire en raison notamment de la mollesse du marché de l'emploi et du bas niveau de l'inflation. En d’autres mots, la Fed va maintenir ses taux d’intérêt directeurs à des niveaux très bas, d’autant que l’inflation reste inférieure à 2%, ce que nombre d’économistes considèrent comme « sain » pour l’économie.
Pourtant, la productivité non-agricole aux Etats-Unis a baissé plus qu'attendu au premier trimestre 2014, du fait de la météo peu clémente. Ce qui a provoqué une accélération des coûts unitaires de la main d'œuvre, selon la première estimation publiée mercredi par le département du Travail. Reste à voir si cette baisse de la productivité se traduira par une poussée inflationiste.
Par ailleurs, la présidente de la Fed s’inquiète de la menace que les tensions géopolitiques font peser sur la reprise, de même que les incertitudes qui affectent toujours le marché de l’immobilier aux Etats-Unis.