La situation reste tendue au Nigeria alors que la communauté internationale pointe du doigt l’inaction du président Goodluck Jonathan.
Le chef de l’Etat nigérian pourrait incessamment se rendre dans le Nord du pays, fief de la milice islamiste Boko Haram. Néanmoins, les déclarations et contradictions se sont succédées jeudi à propos d’un éventuel déplacement du président à Chibok, localité du Nord du pays, dans l’Etat de Borno, site de l’enlèvement à la mi-avril de plus de 200 lycéennes.
Des officiels avaient annoncé la visite de M. Jonathan à Chibok, avant son départ pour Paris où il doit participer à une rencontre spéciale sur la sécurité convoquée par le président François Hollande. Mais un responsable a démenti l’information.
Le sommet de Paris, auquel sont attendus les présidents du Cameroun, du Bénin, du Niger et du Tchad, devrait mettre en place de nouvelles stratégies, selon le président Hollande, pour mieux faire face aux défis posés par Boko Haram et les groupes terroristes de la région.
Le groupe islamiste a, dans un premier temps, menacé de vendre en esclavage, ou de marier à ses militants, les centaines de lycéennes détenues. Mais Boko Haram a, par la suite, offert de les échanger contre certains de ses membres emprisonnés au Nigéria.
Le chef de l’Etat nigérian pourrait incessamment se rendre dans le Nord du pays, fief de la milice islamiste Boko Haram. Néanmoins, les déclarations et contradictions se sont succédées jeudi à propos d’un éventuel déplacement du président à Chibok, localité du Nord du pays, dans l’Etat de Borno, site de l’enlèvement à la mi-avril de plus de 200 lycéennes.
Des officiels avaient annoncé la visite de M. Jonathan à Chibok, avant son départ pour Paris où il doit participer à une rencontre spéciale sur la sécurité convoquée par le président François Hollande. Mais un responsable a démenti l’information.
Le sommet de Paris, auquel sont attendus les présidents du Cameroun, du Bénin, du Niger et du Tchad, devrait mettre en place de nouvelles stratégies, selon le président Hollande, pour mieux faire face aux défis posés par Boko Haram et les groupes terroristes de la région.
Le groupe islamiste a, dans un premier temps, menacé de vendre en esclavage, ou de marier à ses militants, les centaines de lycéennes détenues. Mais Boko Haram a, par la suite, offert de les échanger contre certains de ses membres emprisonnés au Nigéria.