Les Etats-Unis ont imposé des sanctions contre l’une des milices islamistes qui contrôlent le nord du Mali, ainsi que deux des dirigeants du groupe.
Dans un communiqué, le département d’Etat américain a annoncé vendredi que le Mouvement pour l'unicité et le Jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), ainsi que les deux fondateurs du mouvement, Hamad el Khairy et Ahmed el Tilemsi, figurent dorénavant sur la liste américaine des terroristes internationaux.
Tout avoir du Mujao ou de ses responsables aux Etats-Unis est d'ors et déjà gelé, et les Américains ont interdiction de procéder à quelconque transaction avec eux.
Mercredi, le Conseil de sécurité des Nations unies (ONU) avait déjà décrété des sanctions contre le Mujao en tant que groupe lié à Al-Qaïda. Ce qui obligeait les pays membres de l'ONU à faire de même.
Selon le département d’Etat, el Khairy a été impliqué dans des enlèvements contre rançon du Mujao, dont ceux de diplomates algériens en avril 2012. Quant à el Tilemsi, le chef militaire du Mujao, il aurait participé au kidnapping de trois travailleurs caritatifs en Algérie en octobre 2011. Les deux hommes auraient également été membres d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi) avant d’assumer la direction du Mujao.
Dans un communiqué, le département d’Etat américain a annoncé vendredi que le Mouvement pour l'unicité et le Jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), ainsi que les deux fondateurs du mouvement, Hamad el Khairy et Ahmed el Tilemsi, figurent dorénavant sur la liste américaine des terroristes internationaux.
Tout avoir du Mujao ou de ses responsables aux Etats-Unis est d'ors et déjà gelé, et les Américains ont interdiction de procéder à quelconque transaction avec eux.
Mercredi, le Conseil de sécurité des Nations unies (ONU) avait déjà décrété des sanctions contre le Mujao en tant que groupe lié à Al-Qaïda. Ce qui obligeait les pays membres de l'ONU à faire de même.
Selon le département d’Etat, el Khairy a été impliqué dans des enlèvements contre rançon du Mujao, dont ceux de diplomates algériens en avril 2012. Quant à el Tilemsi, le chef militaire du Mujao, il aurait participé au kidnapping de trois travailleurs caritatifs en Algérie en octobre 2011. Les deux hommes auraient également été membres d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi) avant d’assumer la direction du Mujao.