Alors que l’on s’attendait depuis mardi à la signature d’un accord pour la tenue des élections à Kidal, dans le Nord du pays, et l’entrée de l’armée malienne dans cette région contrôlée par les mouvements touareg, Bamako aurait, dit-on, réclamé des amendements au texte propose lors des pourparlers de Ouagadougou. C’est ce qui explique l’arrive dans la capitale malienne, mercredi, d’une délégation dirigée par le chef de la diplomatie burkinabè, Jibril Bassole, dont la mission serait de convaincre les autorités de la transition d’accepter l’accord déjà avalisé par les négociateurs de la région dite de l’Azawad.
Les tractations se sont déroulées pendant la journée de mercredi à Bamako sur fonds de tension, d’autant que divers secteurs sont contre toute entente qui accorderait un statut spécial à la région de Kidal. Notre correspondant Kassim Traore a recueilli les opinions de quelques Bamakois qui attendent impatiemment le dénouement des tractations. Tous affirment avec force le caractère indivisible du Mali.
Les tractations se sont déroulées pendant la journée de mercredi à Bamako sur fonds de tension, d’autant que divers secteurs sont contre toute entente qui accorderait un statut spécial à la région de Kidal. Notre correspondant Kassim Traore a recueilli les opinions de quelques Bamakois qui attendent impatiemment le dénouement des tractations. Tous affirment avec force le caractère indivisible du Mali.
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