Sanofi Pasteur, GlaxoSmithKline (GSK) et la Fondation Bill et Melinda Gates ont annoncé un nouveau partenariat visant à permettre de produire des vaccins moins sensibles à la chaleur, ce qui réduirait les besoins en réfrigération. Un problème clé notamment en Afrique subsaharienne, où les pénuries d’électricité font rage, même dans les principales métropoles du continent.
Cette initiative a été prise dans le cadre du Partenariat pour la découverte de nouveaux vaccins. Emmanuel Hanon, vice-président à GlaxoSmithKline pour la découverte et le développement de vaccins.
Certes, mettre au point de nouveaux vaccins est essentiel, a noté M. Hanon, mais « Il est tout aussi capital de s’assurer que les vaccins que l’on a déjà développé et mis à disposition des patients, arrivent réellement aux patients. Et dans certaines situations, et bien, on peut rencontrer certaines difficultés, dont le respect de la chaine du froid ».
Pour contourner ce probléme, il faut envisager la production d’un vaccin thermostable, qui ne nécessiterait pas forcément le respect de la chaine du froid, a ajouté le responsable.
Dans un premier temps les chercheurs vont se focaliser sur un vaccin contre la malaria, comprenant un antigène et un adjuvant. « Des deux constituants, celui qui est le plus sensible à la température, c’est la composante adjuvant » explique M. Hanon. « On va effectivement se focaliser pour pouvoir identifier une formulation qui permette de maintenir toute les propriétés de l’adjuvant tout en permettant de pouvoir garder cette solution à température ambiante » a souligné le haut responsable de GlaxoSmithKline.
Dans un premier temps, GSK et la Fondation Bill et Melinda Gates vont investir 1,8 million de dollars dans ces recherches sur la thermosensibilité des vaccins .
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Cette initiative a été prise dans le cadre du Partenariat pour la découverte de nouveaux vaccins. Emmanuel Hanon, vice-président à GlaxoSmithKline pour la découverte et le développement de vaccins.
Certes, mettre au point de nouveaux vaccins est essentiel, a noté M. Hanon, mais « Il est tout aussi capital de s’assurer que les vaccins que l’on a déjà développé et mis à disposition des patients, arrivent réellement aux patients. Et dans certaines situations, et bien, on peut rencontrer certaines difficultés, dont le respect de la chaine du froid ».
Pour contourner ce probléme, il faut envisager la production d’un vaccin thermostable, qui ne nécessiterait pas forcément le respect de la chaine du froid, a ajouté le responsable.
Dans un premier temps les chercheurs vont se focaliser sur un vaccin contre la malaria, comprenant un antigène et un adjuvant. « Des deux constituants, celui qui est le plus sensible à la température, c’est la composante adjuvant » explique M. Hanon. « On va effectivement se focaliser pour pouvoir identifier une formulation qui permette de maintenir toute les propriétés de l’adjuvant tout en permettant de pouvoir garder cette solution à température ambiante » a souligné le haut responsable de GlaxoSmithKline.
Dans un premier temps, GSK et la Fondation Bill et Melinda Gates vont investir 1,8 million de dollars dans ces recherches sur la thermosensibilité des vaccins .