Les nouvelles sanctions viseront le gouvernement russe, les individus compromis dans les efforts visant à rattacher la Crimée à la Russie, et une banque qui offre un soutien matériel aux dirigeants russes.
Le président américain, Barack Obama, a annoncé jeudi matin une série de nouvelles sanctions contre la Russie, en réaction à son annexion de la péninsule de Crimée, territoire confisqué à l’Ukraine.
S'exprimant à la Maison Blanche avant un déplacement en Floride, M. Obama a déclaré que les Etats-Unis imposeraient d’autres sanctions contre le gouvernement russe, les individus compromis dans les efforts visant à rattacher la Crimée à la Russie, et une banque qui offre un soutien matériel aux dirigeants russes.
« La Russie doit savoir qu'une escalade supplémentaire ne fera que l’isoler davantage de la communauté internationale », a déclaré M. Obama, en ajoutant que les sanctions pourraient éventuellement être étendues à d’autres secteurs de l’économie russe.
« Au cours des derniers jours, nous avons continué à être profondément préoccupés par les événements en Ukraine », a poursuivi M. Obama, en évoquant le « référendum illégal » en Crimée, la tentative illégitime pour annexer le territoire de Crimée, et le risque grave d’une escalade des tensions, dont des menaces proférées par la Russie contre des régions de l'est et du sud de l'Ukraine.
« Ce sont des choix que le gouvernement russe a fait, des choix qui ont été rejetés par la communauté internationale ainsi que le gouvernement de l'Ukraine », a souligné M. Obama.
Pour sa part, l’Union européenne (UE) envisagerait également des sanctions accrues.
La chancelière allemande, Angela Merkel, a dit aux parlementaires allemands jeudi que si la situation s'aggrave, l’UE est prête à passer aux mesures dites de troisième niveau, qui comporteraient des sanctions économiques.
L'UE a déjà imposé des interdictions de voyage et le gel des avoirs de responsables russes jugés responsables de l'incursion en Crimée.
La réaction ne s’est pas fait attendre à Moscou: le gouvernement russe a annoncé des sanctions contre neuf membres du Congrès et du gouvernement américain. Parmi eux, le président de la Chambre des représentants, le répubicain John Boehner, le leader democrate du Sénat, Harry Reid, et John McCain., sénateur républicain de l'Arizona.
S'exprimant à la Maison Blanche avant un déplacement en Floride, M. Obama a déclaré que les Etats-Unis imposeraient d’autres sanctions contre le gouvernement russe, les individus compromis dans les efforts visant à rattacher la Crimée à la Russie, et une banque qui offre un soutien matériel aux dirigeants russes.
« La Russie doit savoir qu'une escalade supplémentaire ne fera que l’isoler davantage de la communauté internationale », a déclaré M. Obama, en ajoutant que les sanctions pourraient éventuellement être étendues à d’autres secteurs de l’économie russe.
« Au cours des derniers jours, nous avons continué à être profondément préoccupés par les événements en Ukraine », a poursuivi M. Obama, en évoquant le « référendum illégal » en Crimée, la tentative illégitime pour annexer le territoire de Crimée, et le risque grave d’une escalade des tensions, dont des menaces proférées par la Russie contre des régions de l'est et du sud de l'Ukraine.
« Ce sont des choix que le gouvernement russe a fait, des choix qui ont été rejetés par la communauté internationale ainsi que le gouvernement de l'Ukraine », a souligné M. Obama.
Pour sa part, l’Union européenne (UE) envisagerait également des sanctions accrues.
La chancelière allemande, Angela Merkel, a dit aux parlementaires allemands jeudi que si la situation s'aggrave, l’UE est prête à passer aux mesures dites de troisième niveau, qui comporteraient des sanctions économiques.
L'UE a déjà imposé des interdictions de voyage et le gel des avoirs de responsables russes jugés responsables de l'incursion en Crimée.
La réaction ne s’est pas fait attendre à Moscou: le gouvernement russe a annoncé des sanctions contre neuf membres du Congrès et du gouvernement américain. Parmi eux, le président de la Chambre des représentants, le répubicain John Boehner, le leader democrate du Sénat, Harry Reid, et John McCain., sénateur républicain de l'Arizona.