Ibrahim Boubacar Keita est crédité de 39,2% des suffrages au premier tour, et son principal rival, Soumaila Cissé, a obtenu 19,4% des voix.
Les électeurs maliens retourneront aux urnes le 11 août pour le second tour de l’élection présidentielle. Selon les résultats provisoires publiés vendredi, ce scrutin mettra aux prises Ibrahim Boubacar Keita (IBK), crédité de 39,2% des suffrages au premier tour, et son principal rival, Soumaila Cissé, qui a obtenu 19,4% des voix. Dramane Dembélé est arrivé en troisième position avec 9,6%.
Le nombre d’inscrits est de 6 829 696, celui des votants, 3 520 242, 403 532 bulletins nuls, pour 3 116 710 suffrages exprimés. Ces résultats provisoires seront transmis à la cour constitutionnelle qui doit proclamer les résultats définitifs.
Six candidats malheureux, Ousmane Ben Fana Traoré, Moussa Mara, Chiaka Diarra, Racine Thiam, Alhousseyni Abba Maïga et Sibiri Koumaré, appellent au respect de la volonté des Maliens et d’agir dans le sens de l’apaisement pour éviter les conflits postélectoraux. Ils veulent soutenir IBK au second tour.
Pour Mamadou Diamoutani, président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), le ministre de l’Administration du territoire a commis une erreur de communication mercredi en annonçant que le candidat IBK avait pris une large avance sur ses concurrents et que si cette tendance se confirmait, il pourrait ne pas y avoir de second tour. Ces erreurs sont confirmées aujourd’hui avec la publication des résultats provisoires.
De son côté le député Gouagnon Coulibaly, coordinateur de la campagne de Soumaila Cissé, a déclaré hier qu’une crise postélectorale à l’ivoirienne ne se produira pas au Mali. Il a assuré que tous les actes posés par l’URD ne visent qu’à renforcer la démocratie.
Makan Konaté, président du Collectif des patriotes (COPA) se réjouit de la bonne tenue du scrutin et appelle les perdants à n’entreprendre aucune action de violence. Pour le COPA, il faut faire confiance à la Cour constitutionnelle.
La présidentielle malienne vise à ramener la stabilité au Mali après un an et demi de troubles marqués par une rébellion touareg, un coup d’Etat militaire, et l’occupation du Nord du pays par des insurgés islamistes.
Le scrutin de dimanche s’est déroulé dans le calme, avec un taux de participation estimée à plus de 50%.
Le nombre d’inscrits est de 6 829 696, celui des votants, 3 520 242, 403 532 bulletins nuls, pour 3 116 710 suffrages exprimés. Ces résultats provisoires seront transmis à la cour constitutionnelle qui doit proclamer les résultats définitifs.
Six candidats malheureux, Ousmane Ben Fana Traoré, Moussa Mara, Chiaka Diarra, Racine Thiam, Alhousseyni Abba Maïga et Sibiri Koumaré, appellent au respect de la volonté des Maliens et d’agir dans le sens de l’apaisement pour éviter les conflits postélectoraux. Ils veulent soutenir IBK au second tour.
Pour Mamadou Diamoutani, président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), le ministre de l’Administration du territoire a commis une erreur de communication mercredi en annonçant que le candidat IBK avait pris une large avance sur ses concurrents et que si cette tendance se confirmait, il pourrait ne pas y avoir de second tour. Ces erreurs sont confirmées aujourd’hui avec la publication des résultats provisoires.
De son côté le député Gouagnon Coulibaly, coordinateur de la campagne de Soumaila Cissé, a déclaré hier qu’une crise postélectorale à l’ivoirienne ne se produira pas au Mali. Il a assuré que tous les actes posés par l’URD ne visent qu’à renforcer la démocratie.
Makan Konaté, président du Collectif des patriotes (COPA) se réjouit de la bonne tenue du scrutin et appelle les perdants à n’entreprendre aucune action de violence. Pour le COPA, il faut faire confiance à la Cour constitutionnelle.
La présidentielle malienne vise à ramener la stabilité au Mali après un an et demi de troubles marqués par une rébellion touareg, un coup d’Etat militaire, et l’occupation du Nord du pays par des insurgés islamistes.
Le scrutin de dimanche s’est déroulé dans le calme, avec un taux de participation estimée à plus de 50%.