Dans les nombreux bistrots et dépôts de la capitale Bujumbura, les prix de ces produits ont augmenté. Les citoyens ordinaires se plaignent de ce manque des produits prises par la majorité des Burundais.
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Dans les nombreux bistrots et dépôts des produits de la Brarudi, des files d’attente sont observées. Pour s’approvisionner des produits de la plus grande entreprise du pays, il faut user de tous les subterfuges.
Certains produits alcoolisés manquent dans plusieurs quartiers de Bujumbura. Les prix ont même augmenté pour les rares produits de la brasserie et limonade rie du Burundi encore disponibles.
Cet homme possède un dépôt des produits de la Brarudi. Il affirme qu’il lui est difficile de subvenir aux besoins des détaillants.
Pour cet amateur de la bière Primus, il préfère se tourner vers la consommation d’autres produits, mais qui sont disponibles.
Depuis plusieurs jours, ces produits alcoolisés se raréfient de plus en plus dans la capitale.
Les travailleurs de la Brarudi contactés indiquent que le manque de devises a des retombées directes sur les approvisionnements des produits alcoolises ou pas.
La plus grande entreprise du Burundi devrait des millions de dollars a des fournisseurs.
Le gouvernement burundais, également actionnaire ne disposerait plus de vises suffisantes.
Les sanctions de l'Union Européenne et d’autres bailleurs de fonds qui ont arrêté l’appui budgétaire au gouvernement ont des répercussions directes sur les importations et exportations du Burundi.
Christophe Nkurunziza, correspondant à Bujumbura