Les pourparlers de paix entre les factions belligérantes au Soudan du Sud ont repris mardi à Addis-Abeba sous la bannière de l'Autorité intergouvernementale pour le développement (Igad), l’organisation régionale de l’Afrique de l’est.
Les facilitateurs de l’IGAD ont à cœur de remettre sur les rails le dialogue politique devant mener à la réconciliation nationale et à l'apaisement. Les pourparlers de paix avaient été suspendus le 3 mars, sans réelle avancée. Le gouvernement sud-soudanais et le camp de l'ancien vice-président Riek Machar, dont les troupes s'affrontent depuis la mi-décembre, n’ont eu de cesse de violer un cessez-le-feu conclu le 23 janvier dernier.
Ce nouveau round de négociations est destiné à trouver une solution politique durable au conflit. L'Igad a indiqué ce mardi dans un communiqué « rester profondément inquiète de la poursuite des combats au Soudan du Sud et de la violation flagrante par les (deux) parties de l'accord de cessation des hostilités ».
Les combats, qui ont éclaté le 15 décembre 2013 au sein de l'armée sud-soudanaise, entre des troupes loyales au président Salva Kiir et des soldats fidèles à M. Machar, avant de se propager dans le jeune pays, ont déjà fait plusieurs milliers de morts et près d'un million de déplacés.
Les facilitateurs de l’IGAD ont à cœur de remettre sur les rails le dialogue politique devant mener à la réconciliation nationale et à l'apaisement. Les pourparlers de paix avaient été suspendus le 3 mars, sans réelle avancée. Le gouvernement sud-soudanais et le camp de l'ancien vice-président Riek Machar, dont les troupes s'affrontent depuis la mi-décembre, n’ont eu de cesse de violer un cessez-le-feu conclu le 23 janvier dernier.
Ce nouveau round de négociations est destiné à trouver une solution politique durable au conflit. L'Igad a indiqué ce mardi dans un communiqué « rester profondément inquiète de la poursuite des combats au Soudan du Sud et de la violation flagrante par les (deux) parties de l'accord de cessation des hostilités ».
Les combats, qui ont éclaté le 15 décembre 2013 au sein de l'armée sud-soudanaise, entre des troupes loyales au président Salva Kiir et des soldats fidèles à M. Machar, avant de se propager dans le jeune pays, ont déjà fait plusieurs milliers de morts et près d'un million de déplacés.