Le quatrième président kenyan s'est engagé à promouvoir la paix, l'unité et le développement économique dans son pays.
Uhuru Kenyatta a prêté le serment d’usage lors d’une cérémonie élaborée, mardi, au Centre sportif international Moi, dans la banlieue de Nairobi.
Un grand nombre de dirigeants africains y ont assisté, y compris Goodluck Jonathan du Nigéria, Paul Kagamé du Rwanda, et Robert Mugabe du Zimbabwe. L'ambassadeur américain et le haut-commissaire britannique au Kenya étaient également présents.
Agé de 51 ans, Uhuru Kenyatta est le fils du président fondateur du Kenya, Jomo Kenyatta. Il est un ancien ministre des Finances et l'un des hommes les plus riches du pays. M. Kenyatta a déclaré que son administration se concentrera sur la réalisation de la paix et le renforcement de l'unité, à la suite d'une élection qui a divisé le pays.
«Aujourd'hui, le travail commence. Le temps est venu de demander non pas quelle est notre communauté d’origine, mais plutôt quels rêves nous partageons. Le temps est venu de demander non pas à quel parti politique nous appartenons, mais plutôt quels partenariats pouvons-nous construire, " a déclaré le nouveau chef d'Etat.
Le président sortant Mwai Kibaki a remis à M. Kenyatta les instruments symboliques du pouvoir - une épée et une copie de la Constitution. M. Kibaki a dit qu'il n'a "aucun doute que le pays est en de bonnes mains."
M. Kenyatta, et son adjoint William Ruto, font face à des accusations de la Cour pénale internationale pour les crimes liés à la violence interethnique meurtrière qui a balayé le pays après le dernier vote de 2007.
Dans un communiqué publié mardi, Human Rights Watch a appelé les deux nouveaux dirigeants à coopérer avec la CPI et à respecter leur promesse d'assister à leur procès.
Uhuru Kenyatta a remporté les élections de mars dernier par une marge très mince. Son plus proche rival, le Premier ministre sortant Raila Odinga, a contesté les résultats devant la Cour suprême, alléguant que le décompte des voix a été vicié ; mais après deux semaines de débats, les six juges ont statué à l'unanimité, que M. Kenyatta est le vainqueur de la présidentielle, ouvrant la voie à son investiture, ce mardi 9 avril.
Un grand nombre de dirigeants africains y ont assisté, y compris Goodluck Jonathan du Nigéria, Paul Kagamé du Rwanda, et Robert Mugabe du Zimbabwe. L'ambassadeur américain et le haut-commissaire britannique au Kenya étaient également présents.
Agé de 51 ans, Uhuru Kenyatta est le fils du président fondateur du Kenya, Jomo Kenyatta. Il est un ancien ministre des Finances et l'un des hommes les plus riches du pays. M. Kenyatta a déclaré que son administration se concentrera sur la réalisation de la paix et le renforcement de l'unité, à la suite d'une élection qui a divisé le pays.
«Aujourd'hui, le travail commence. Le temps est venu de demander non pas quelle est notre communauté d’origine, mais plutôt quels rêves nous partageons. Le temps est venu de demander non pas à quel parti politique nous appartenons, mais plutôt quels partenariats pouvons-nous construire, " a déclaré le nouveau chef d'Etat.
Le président sortant Mwai Kibaki a remis à M. Kenyatta les instruments symboliques du pouvoir - une épée et une copie de la Constitution. M. Kibaki a dit qu'il n'a "aucun doute que le pays est en de bonnes mains."
M. Kenyatta, et son adjoint William Ruto, font face à des accusations de la Cour pénale internationale pour les crimes liés à la violence interethnique meurtrière qui a balayé le pays après le dernier vote de 2007.
Dans un communiqué publié mardi, Human Rights Watch a appelé les deux nouveaux dirigeants à coopérer avec la CPI et à respecter leur promesse d'assister à leur procès.
Uhuru Kenyatta a remporté les élections de mars dernier par une marge très mince. Son plus proche rival, le Premier ministre sortant Raila Odinga, a contesté les résultats devant la Cour suprême, alléguant que le décompte des voix a été vicié ; mais après deux semaines de débats, les six juges ont statué à l'unanimité, que M. Kenyatta est le vainqueur de la présidentielle, ouvrant la voie à son investiture, ce mardi 9 avril.
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