A l’occasion de la 25ème Journée mondiale de lutte contre le sida, Médecins sans Frontières (MSF) a lancé une série de films visant à équilibrer la perception grandissante que la pandémie est sous contrôle.
Cette série de films intitulés « See What We See » - en français « Voyez ce que nous voyons » - rappelle notamment que les engagements financiers pris par la communauté internationale pour lutter contre le VIH/sida ne répondent plus aux besoins.
Le Centre de Contrôle des maladies (CDC) aux Etats Unis affirme qu’environ 35 millions de personnes vivent avec le VIH /sida dans le monde. Plus de 25 millions de personnes ont succombé à la maladie depuis 1981, ce qui en fait l'une des pandémies les plus dévastatrices de l'histoire.
Or, les financements pour la lutte contre le VIH/SIDA stagnent, estime MSF et d'autres ONGs. Selon le Docteur Gilles van Cutsem, un haut responsable de MSF, la situation reste dramatique dans nombre de pays, ou de régions, où les malades ignorent leur séropositivité, ou n’ont accès ni aux traitements, ni aux tests de dépistages. Résultat : ils n’arrivent aux services de santé que beaucoup trop tard et le bilan humain reste lourd.
C’est vrai de la République démocratique du Congo (RDC) en Afrique centrale aussi bien que de la Guinée, en Afrique de l’Ouest, ajoute le Dr van Cutsem.
La série « Voyez ce que nous voyons », qui est disponible sur see.msf.org, montre la réalité quotidienne des équipes de MSF, ajoute le médecin.
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Cette série de films intitulés « See What We See » - en français « Voyez ce que nous voyons » - rappelle notamment que les engagements financiers pris par la communauté internationale pour lutter contre le VIH/sida ne répondent plus aux besoins.
Le Centre de Contrôle des maladies (CDC) aux Etats Unis affirme qu’environ 35 millions de personnes vivent avec le VIH /sida dans le monde. Plus de 25 millions de personnes ont succombé à la maladie depuis 1981, ce qui en fait l'une des pandémies les plus dévastatrices de l'histoire.
Or, les financements pour la lutte contre le VIH/SIDA stagnent, estime MSF et d'autres ONGs. Selon le Docteur Gilles van Cutsem, un haut responsable de MSF, la situation reste dramatique dans nombre de pays, ou de régions, où les malades ignorent leur séropositivité, ou n’ont accès ni aux traitements, ni aux tests de dépistages. Résultat : ils n’arrivent aux services de santé que beaucoup trop tard et le bilan humain reste lourd.
C’est vrai de la République démocratique du Congo (RDC) en Afrique centrale aussi bien que de la Guinée, en Afrique de l’Ouest, ajoute le Dr van Cutsem.
La série « Voyez ce que nous voyons », qui est disponible sur see.msf.org, montre la réalité quotidienne des équipes de MSF, ajoute le médecin.