Le leader de l'ex-parti au pouvoir en Guinée-Bissau rejette le déploiement annoncé d'une force régionale, suite à ce qui a été présenté comme un coup d'Etat avorté le 1er février. Pour Domingos Simões Pereira, chef du PAIGC, il faut dire à la Cédéao que le pays a une Constitution.