En Centrafrique, en réponse aux critiques sur la nomination de plusieurs chefs de guerre à des postes gouvernementaux, la présidence a fait savoir que l'accord de paix conclu à Khartoum avec les groupes armés était soumis à la constitution et n'accordait pas "l'amnistie".
Touadera lève l'équivoque sur "l'amnistie" pour les rebelles