Toyota a négocié le départ de 200 de quelque 300 de ses employés en Angola car "la société était surdimensionnée" par rapport aux besoins nationaux, a déclaré à l'AFP cette source qui a requis l'anonymat.
"Nous avons aujourd'hui une trop grande entreprise (...) qui ne correspond pas aux besoins actuels", a-t-elle ajouté.
La plupart des personnes licenciées occupaient des postes administratifs.
Toyota ne dispose pas d'usine de construction en Angola mais de points de vente et de réparations.
L'Angola subit de plein fouet la chute des cours de l'or noir. Plus d'un tiers de ses 25 millions d'habitants vit sous le seuil de pauvreté.
Avec AFP