Au Liban, les autorités affirment ce vendredi que le dernier bilan de l’attentat de jeudi à Beyrouth s'établit à au moins 22 morts et plus de 200 blessés. C’est une voiture piégée qui a explosé dans le fief du Hezbollah.
Il s'agit de l’une des attaques les plus meurtrières dans la capitale libanaise depuis la guerre civile entre 1975 et 1990. Elle s'est produite dans la banlieue densément peuplée de Roueiss, un fief du Hezbollah – le puissant parti chiite qui combat les insurgés en Syrie aux côtés du régime de Bachar al-Assad.
L'attentat a été revendiqué par l’inconnue Brigade de Aïsha, un nom à connotation sunnite.
L'Armée syrienne libre, principale composante de la rébellion contre le régime de Damas, a démenti tout lien avec l’attentat de Beyrouth, attentat qui a été condamné par le Conseil de sécurité de l'ONU.
Le Premier ministre libanais sortant, Najib Miqati, a décrété ce vendredi une journée de deuil national.
Il s'agit de l’une des attaques les plus meurtrières dans la capitale libanaise depuis la guerre civile entre 1975 et 1990. Elle s'est produite dans la banlieue densément peuplée de Roueiss, un fief du Hezbollah – le puissant parti chiite qui combat les insurgés en Syrie aux côtés du régime de Bachar al-Assad.
L'attentat a été revendiqué par l’inconnue Brigade de Aïsha, un nom à connotation sunnite.
L'Armée syrienne libre, principale composante de la rébellion contre le régime de Damas, a démenti tout lien avec l’attentat de Beyrouth, attentat qui a été condamné par le Conseil de sécurité de l'ONU.
Le Premier ministre libanais sortant, Najib Miqati, a décrété ce vendredi une journée de deuil national.