Alain-Claude Bilie-By-Nze, le porte-parole qui est de passage à Paris, a affirmé à l’AFP que les 27 opposants "peuvent rentrer" chez eux.
"Le représentant des Nations unies à Libreville, à la demande du président Ali Bongo, s'est rendu au QG de l'opposant Jean Ping pour dire aux personnes qui y étaient bloquées qu'elles peuvent rentrer chez elles", a-t-il déclaré.
"On va sortir", a confirmé par téléphone l'une des personnes retenues, Paul-Marie Gondjout, à un journaliste de l'AFP à Libreville.
Des affrontements ont éclaté mercredi à Libreville entre les forces de l’ordre et des manifestants après l’annonce de la réélection du président sortant Ali Bongo.
Avec AFP