Le général Xolani Mabanga indique que les 50 militaires ont commis des violations, entre autres, en quittant leur base après le couvre-feu.
Ils sont accusés d’avoir "mis en danger la sécurité d’autres (éléments) des troupes sud-africaines".
Ils ont, selon le communiqué, violé le code de conduite de l’armée sud-africaine mais aussi des Casques bleus de Nations unies.
En 2013, l’Afrique du Sud a annoncé qu’elle fournirait 1.345 militaires à la brigade d’intervention de la mission des Nations unies pour combattre les groupes armés congolais, dont les rebelles du M23 qui occupaient l’Est de la RDC.