L'amendement stipule que la peine minimale passe à sept ans d'emprisonnement en cas de circonstances aggravantes (port d'une arme ou harcèlement collectif par exemple), selon les médias locaux.
Selon des enquêtes menées par les Nations Unies, la plupart des femmes interrogées ont déjà été victimes de violences sexuelles, allant du harcèlement de rue aux attouchements et aux viols, dans ce pays conservateur.
Le mouvement égyptien #Metoo a pris de l'ampleur en Egypte depuis l'année dernière, de nombreuses femmes ayant témoigné de comportements sexuels abusifs.