L’opposition, principalement le Mouvement pour un changement démocratique (MDC), a refusé de prendre part à ce scrutin parce qu’il ne lui était pas permis de consulter les listes électorales, gonflées selon lui d'électeurs décédés.
Selon l’opposition, ses partisans ont subi des menaces.
Les élections avaient été provoquées par l'implosion du MDC, qui a exclu 14 de ses députés pour avoir formé un parti dissident. Par ailleurs, deux députés ZANU-PF avaient été évincés pour avoir rejoint l'ancienne vice-présidente Joyce Mujuru, tombée en disgrâce.