M. Amadou est parti en exil en France depuis un an après avoir été accusé de trafic de bébés.
Le fait que M. Amadou ait été investi candidat par son parti dimanche "ne lui confère aucune immunité", soutient le ministre Massaoudou.
"Toutes les unités de police et de gendarmerie ont reçu l'ordre d'arrêter M. Hama Amadou dès qu'il mettra pied sur le territoire national", précise le ministre.
M. Amadou a toujours dénoncé un "dossier politique" visant selon lui à "l'écarter de la présidentielle". Le gouvernement parle d'un "dossier de droit commun".
En juillet 2015, la Cour d'appel de Niamey a rejeté une demande de ses avocats en vue de la levée du mandat d'arrêt.
Avec AFP