Pas d'élections anticipées, ni de Brexit sans accord
- Jacques Aristide
Le Premier ministre Boris Johnson a essuyé une double défaite au Parlement britannique, hier. Ce qui n’a pas empêché son gouvernement d’annoncer, hier même, un accroissement de 4,1 pour cent des dépenses publiques pour l'année qui suivra la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne. Même si des voix avertissent que la facture du « no deal » risque d’être faramineuse, de nombreux pro-Brexit maintiennent que cette sortie sans accord reste la seule solution possible à la crise actuelle, comme le rapporte Henry Ridgwell de Londres.