Une année après, l’émotion était encore palpable chez ceux qui ont perdu des proches.
A Brazzaville, le président Denis Sassou Nguesso et les familles endeuillées ont honoré lundi la mémoire des victimes de la catastrophe du 4 mars 2012.
On se souvient en effet qu’à cette date, une série d’explosions dans un dépôt de munitions à Mpila avaient causé la mort de près de 300 personnes et fait plus de 17 000 sinistrés et sans abris. La cérémonie a eu lieu au cimetière du centre ville de Brazzaville.
Une année après, l’émotion était encore palpable chez ceux qui ont perdu des proches.
Les douze mois qui se sont écoulés n'ont pas aussi vite emporté la douleur et le chagrin des parents de victimes. Assis ou debout devant les tombes, d’aucuns n'ont pas pu retenir leurs larmes.
D'un ton lourd et lugubre, le ministre de la Culture Jean Claude Gakosso a évoqué la mort comme une fatalité, un destin commun : "Peut-être cette commémoration douloureuse devait être une occasion pour chacun de méditer profondément, avec humilité, sur le sens de la vie, le sens de la mort. Nous mourrons tous, et nous allons sans cesse au tombeau comme ces eaux coulantes qui se perdent sans retour »
Plus loin, Jean Claude Gakosso a gardé une pensée pour tous ceux qui ont perdu des biens, la récompense du labeur de toute une vie. " Je m’incline devant l’étendue du chagrin de tous ceux qui ont vu se volatiliser en une fraction de secondes, la part essentiellement de leurs biens, fruit de la sueur de leur front, récompense d’un dur labeur, qui parfois aurait duré toute une vie ».
Au rythme de l'hymne aux morts, le président Denis Sassou Nguesso, visiblement ému, a déposé une gerbe de fleurs…
Une année après les explosions de Brazzaville, le gouvernement a pu reloger 200 des 17 500 sinistrés et sans abris.
On se souvient en effet qu’à cette date, une série d’explosions dans un dépôt de munitions à Mpila avaient causé la mort de près de 300 personnes et fait plus de 17 000 sinistrés et sans abris. La cérémonie a eu lieu au cimetière du centre ville de Brazzaville.
Une année après, l’émotion était encore palpable chez ceux qui ont perdu des proches.
Les douze mois qui se sont écoulés n'ont pas aussi vite emporté la douleur et le chagrin des parents de victimes. Assis ou debout devant les tombes, d’aucuns n'ont pas pu retenir leurs larmes.
D'un ton lourd et lugubre, le ministre de la Culture Jean Claude Gakosso a évoqué la mort comme une fatalité, un destin commun : "Peut-être cette commémoration douloureuse devait être une occasion pour chacun de méditer profondément, avec humilité, sur le sens de la vie, le sens de la mort. Nous mourrons tous, et nous allons sans cesse au tombeau comme ces eaux coulantes qui se perdent sans retour »
Plus loin, Jean Claude Gakosso a gardé une pensée pour tous ceux qui ont perdu des biens, la récompense du labeur de toute une vie. " Je m’incline devant l’étendue du chagrin de tous ceux qui ont vu se volatiliser en une fraction de secondes, la part essentiellement de leurs biens, fruit de la sueur de leur front, récompense d’un dur labeur, qui parfois aurait duré toute une vie ».
Au rythme de l'hymne aux morts, le président Denis Sassou Nguesso, visiblement ému, a déposé une gerbe de fleurs…
Une année après les explosions de Brazzaville, le gouvernement a pu reloger 200 des 17 500 sinistrés et sans abris.
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