Des nouvelles font état de plusieurs morts jeudi dans la capitale centrafricaine, notamment dans Boy Rabe et deux autres quartiers.
Le Front pour le Retour à l’ordre constitutionnel en Centrafrique (FROCCA) du président Bozizé appelle au soulèvement du peuple centrafricain et promet de nouvelles actions.
En exclusivité sur la VOA, le coordonnateur du FROCCA affirme que son groupe veut chasser « les éléments étrangers » présents en Centrafrique. Lin Banoukepa a revendiqué au nom FROCCA la responsabilité des attaques qui secouent la ville de Bangui depuis la nuit de mercredi à jeudi.
Concernant les milices d’auto-défense « anti-balaka », Banoukepa dit que « ce sont des Centrafricains [qui veulent] aller libérer leur pays. » Il a lancé un appel aux populations des diverses régions de la RCA de se soulever pour chasser du pays ce qu’il appelle des éléments « djihadistes venus du Tchad et du Soudan ».
Auparavant, le porte-parole du président intérimaire de la République centrafricaine Michel Djotodia avait, en effet, pointé du doigt les partisans de l’ex-président François Bozizé.
De violents combats ont eu lieu tôt jeudi matin dans la capitale centrafricaine, alors que l'ONU se préparait à autoriser le déploiement de plus de troupes dans ce pays en crise.
Les premières nouvelles en provenance de Bangui font état de plusieurs morts jeudi lors d’affrontements dans trois quartiers de la ville, y compris le quartier de Boy Rabe.
Ecoutez les précisions d'un journaliste de Radio Ndeke Luka, à Bangui:
Le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté, jeudi, à l’unanimité, une résolution permettant aux pays africains et à la France d'envoyer plus de troupes en RCA.
La France s'est engagée à accroître sa présence dans le pays d’environ 1.000 soldats, tandis que la force dirigée par l'UA devrait atteindre 3600 soldats avant la fin de ce mois.
En exclusivité sur la VOA, le coordonnateur du FROCCA affirme que son groupe veut chasser « les éléments étrangers » présents en Centrafrique. Lin Banoukepa a revendiqué au nom FROCCA la responsabilité des attaques qui secouent la ville de Bangui depuis la nuit de mercredi à jeudi.
Concernant les milices d’auto-défense « anti-balaka », Banoukepa dit que « ce sont des Centrafricains [qui veulent] aller libérer leur pays. » Il a lancé un appel aux populations des diverses régions de la RCA de se soulever pour chasser du pays ce qu’il appelle des éléments « djihadistes venus du Tchad et du Soudan ».
Auparavant, le porte-parole du président intérimaire de la République centrafricaine Michel Djotodia avait, en effet, pointé du doigt les partisans de l’ex-président François Bozizé.
Your browser doesn’t support HTML5
De violents combats ont eu lieu tôt jeudi matin dans la capitale centrafricaine, alors que l'ONU se préparait à autoriser le déploiement de plus de troupes dans ce pays en crise.
Les premières nouvelles en provenance de Bangui font état de plusieurs morts jeudi lors d’affrontements dans trois quartiers de la ville, y compris le quartier de Boy Rabe.
Ecoutez les précisions d'un journaliste de Radio Ndeke Luka, à Bangui:
Your browser doesn’t support HTML5
Le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté, jeudi, à l’unanimité, une résolution permettant aux pays africains et à la France d'envoyer plus de troupes en RCA.
La France s'est engagée à accroître sa présence dans le pays d’environ 1.000 soldats, tandis que la force dirigée par l'UA devrait atteindre 3600 soldats avant la fin de ce mois.