Emmanuel Karenzi Karake, le chef des services secrets rwandais ne sera donc pas extradé comme le demande l’Espagne.
Un porte-parole du tribunal de Westminster Magistrate à Londres a expliqué que les "accusations spécifiées dans le mandat d'arrêt" n'entraient pas dans le cadre des infractions couvertes par la procédure d'extradition britannique.
"La procédure a été abandonnée aujourd'hui", a-t-il affirmé.
L’Espagne accuse le général Karake, personnalité clé du régime rwandais, des "crimes de terrorisme" en lien avec la mort ou la disparition de neuf Espagnols.