Cuba, Burkina, Sankara, Ouaga, rumba, salsa, cha-cha-cha : la musique cubaine rime avec l'Afrique, et à Ouagadougou, l'Afro-cubain fait toujours recette sur fond de souvenirs et de politique.
Au Burkina Faso, 32 ans après son assassinat, Thomas Sankara reste toujours d’actualité. Le père de la Révolution d’août 83 a été assassiné le 15 octobre 1987.
Une attaque contre des fidèles qui priaient vendredi soir dans une mosquée a fait au moins 16 morts dans le nord du Burkina Faso. Et un millier de personnes se sont rassemblées samedi contre le "terrorisme" et pour dénoncer la présence de forces armées étrangères dans le pays.
267.000 personnes ont fui les attaques djihadistes dans le nord et l'est du Burkina Faso en trois mois, portant le nombre de déplacés et réfugiés à 486.000, a annoncé le HCR. Les provinces de Sanmatinga et Soum en accueillent 329 000 et 16.000 autres sont réfugiées dans les pays voisins.
Kongoussi, une localité située à une centaine de kilomètres de Ouagadougou, accueille plus de 45.000 déplacés qui ont fui les exactions terroristes dans les villages environnants.
Au Burkina Faso, Kongoussi, une localité située à une centaine de kilomètres de Ouagadougou, la capitale, accueille plus de 45.000 déplacés qui ont fui les exactions terroristes dans les villages environnants... Ils se retrouvent ainsi dans la principale localité de la province, où ils se débattent
Kongoussi, une localité située à une centaine de kilomètres au nord-ouest de Ouagadougou, accueille plus de 45.000 déplacés qui ont fui les exactions terroristes dans les villages environnants.
Au Burkina Faso, la ville de Dori, principale ville de la région du Sahel, à plus de 260 km de Ouagadougou, est la seule ville qui ne connaît pas d’attaques terroristes.
Manquant de moyens, mal encadrées et mal entraînées, les forces de sécurité du Burkina Faso sont dépassées et déprimées face à la flamblée des attaques menées presque chaque jour par des groupes djihadistes.
Au Burkina Faso, malgré le terrorisme et l’insécurité au Sahel, la Commission électorale nationale indépendante rassure que les élections de 2020 se tiendront. Cette commission s’est d’ailleurs rendue dans deux localités de ces zones difficiles pour rassurer les habitants.
Au Burkina Faso ((en nous excusant tout d’abord de l’incident technique de notre précédente édition)) la Commission électorale nationale indépendante, rassure - malgré le terrorisme, et l’insécurité, au Sahel, - que les élections de 2020 se tiendront. La CENI s’est d’ailleurs rendue dans ces zones
Au Burkina Faso, la petite ville de Kongoussi a 150 km au nord de Ouagadougou est envahi par des milliers de personnes qui ont fui les violences dans les villages de la region. Ces deplacés ont manifesté ce matin et dressé des barrages sur la voix publique. Bagassi Koura a joint a Kongoussi Pascal
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