"Un vent de liberté" est un festival qui se tient depuis 10 ans dans les prisons au Burkina Faso. L’objectif est d’apporter une certaine humanisation dans les établissements pénitentiaires et de formuler des plaidoyers en faveur des prisonniers qui sont dans des conditions de détention précaires.
Nouvelles attaques dans le Nord du Burkina Faso : neuf civils ont été tués dimanche soir dans un village de la province du Bam et une 2ème attaque a été repoussée à Barsalogho.
Neuf civils ont été tués dimanche soir dans un village de la province du Bam, dans le nord du Burkina Faso, où les attaques se sont multipliées ces dernières semaines, a-t-on appris lundi de sources sécuritaire et locale.
Au Burkina Faso, on parle ici d’un festival particulier : celui que l’on appelle « Un vent de liberté ». Il se tient depuis 10 ans dans les prisons. L’objectif est d’apporter une certaine humanisation dans les prisons et de formuler des plaidoyers en faveur des prisonniers qui sont dans des conditio
Cuba, Burkina, Sankara, Ouaga, rumba, salsa, cha-cha-cha : la musique cubaine rime avec l'Afrique, et à Ouagadougou, l'Afro-cubain fait toujours recette sur fond de souvenirs et de politique.
Au Burkina Faso, 32 ans après son assassinat, Thomas Sankara reste toujours d’actualité. Le père de la Révolution d’août 83 a été assassiné le 15 octobre 1987.
Une attaque contre des fidèles qui priaient vendredi soir dans une mosquée a fait au moins 16 morts dans le nord du Burkina Faso. Et un millier de personnes se sont rassemblées samedi contre le "terrorisme" et pour dénoncer la présence de forces armées étrangères dans le pays.
267.000 personnes ont fui les attaques djihadistes dans le nord et l'est du Burkina Faso en trois mois, portant le nombre de déplacés et réfugiés à 486.000, a annoncé le HCR. Les provinces de Sanmatinga et Soum en accueillent 329 000 et 16.000 autres sont réfugiées dans les pays voisins.
Kongoussi, une localité située à une centaine de kilomètres de Ouagadougou, accueille plus de 45.000 déplacés qui ont fui les exactions terroristes dans les villages environnants.
Au Burkina Faso, Kongoussi, une localité située à une centaine de kilomètres de Ouagadougou, la capitale, accueille plus de 45.000 déplacés qui ont fui les exactions terroristes dans les villages environnants... Ils se retrouvent ainsi dans la principale localité de la province, où ils se débattent
Kongoussi, une localité située à une centaine de kilomètres au nord-ouest de Ouagadougou, accueille plus de 45.000 déplacés qui ont fui les exactions terroristes dans les villages environnants.
Au Burkina Faso, la ville de Dori, principale ville de la région du Sahel, à plus de 260 km de Ouagadougou, est la seule ville qui ne connaît pas d’attaques terroristes.
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