Accusé devant la Cour pénale internationale, de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité, Mahamat Saïd Abdel Kani, ancien commandant rebelle présumé en République centrafricaine, a plaidé non coupable lors de l'ouverture de son procès à La Haye aujourd’hui.
Le procès du Centrafricain Mahamat Saïd Abdel Kani s’est ouvert ce lundi 26 septembre devant la Cour pénale internationale à La Haye aux Pays-Bas. Accusé de crimes de guerre et crimes contre l’humanité, l'ex-commandant rebelle a plaidé non coupable.
L'accusé, Mahamat Saïd, a plaidé non coupable. Deux autres responsables présumés d'une milice rivale sont aussi en détention à la CPI.
Yacouba Ouedraogo a joint, à Bangui, Crépin Crescent Beninga, porte-parole du groupe de travail de la société civile sur la crise centrafricaine.
En République centrafricaine, saisie par l'opposition, la Cour constitutionnelle a annulé des décrets du président Faustin Archange Touadéra, créant un comité chargé de rédiger une nouvelle Constitution.
Revers juridique pour le président Touadéra en Centrafrique : la Cour constitutionnelle a annulé des décrets créant un comité chargé de rédiger une nouvelle Constitution, sur une saisine de l'opposition qui redoutait qu'une nouvelle loi fondamentale autorise le chef de l'Etat à briguer un 3e mandat.
En République centrafricaine, une partie du corps judiciaire est en grève. Avocats, notaires et huissiers de justice ont cessé, depuis lundi, certaines de leurs activités. Ils protestent contre les menaces proférées contre des acteurs judiciaires du pays par des organisations proches du pouvoir.
En République centrafricaine, la tension politique remonte d’un cran. L’opposition dénonce une volonté du président Faustin Archange Touadera de s’accrocher au pouvoir au-delà du délai constitutionnel. Elle prévoit, à cet effet, une grande mobilisation le 27 août prochain à Bangui.
Les ministres de l’Intégration ont adopté à Yaoundé le principe d’une fusion des différentes communautés économiques régionales et cela dès l’année prochaine.
Parée d'une combinaison fluorescente, baskets montantes aux pieds, Princia Plisson saisit le micro et monte sur scène. La jeune chanteuse au regard pétillant et plein d'assurance enflamme son auditoire d'adolescents dans un bar d'un quartier défavorisé de Bangui, la capitale centrafricaine.
Une correspondance de Freeman Sipila depuis la capitale centrafricaine.
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