Le Tchad a annoncé, samedi, que ses troupes ont abattu Mokhtar Belmokhtar, un émir d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). Belmokhtar alias « le borgne » avait revendiqué, le 16 janvier, le siège meurtrier de site de gazier d'In Amenas en Algérie.
Dans un communiqué lu à la télévision nationale, samedi, le chef d’état-major de l’armée tchadienne a affirmé que « les forces tchadiennes au Mali ont détruit totalement la principale base des islamiste dans le massif de l'Adrar des Ifoghas, plus précisément dans la vallée d'Ametetai », en précisant que « plusieurs terroristes » ont été tués, « dont le chef Mokhtar Belmokhtar. »
Cette annonce n'a pas été confirmée par une source indépendante. Aux Etats-Unis, le député républicain Ed Royce, président de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, est d’avis que si la mort de Belmokhtar est confirmée, « ce serait un sérieux revers pour l'ensemble des jihadistes opérant dans la région. »
Vendredi, lors des obsèques de 27 soldats tchadiens tués dans le Nord malien, le président Idriss Deby Itno avait annoncé la mort d’un autre émir d’AQMI, le tristement célèbre Abdelhamid Abou Zeid, celui-là même qui avait revendiqué la prise d’otage en 2003 de 32 touristes allemands, dont 17 avaient été libérés en Algérie. Cette dernière information n’a pas été confirmée par Paris dont les soldats participent aux opérations.
La France a seulement annoncé la mort d’un troisième soldat français depuis le début de son intervention militaire au Mali. Selon l’armée française, au moins 15 insurgés islamistes ont été tués ou blessés dans les combats.
Dans un communiqué lu à la télévision nationale, samedi, le chef d’état-major de l’armée tchadienne a affirmé que « les forces tchadiennes au Mali ont détruit totalement la principale base des islamiste dans le massif de l'Adrar des Ifoghas, plus précisément dans la vallée d'Ametetai », en précisant que « plusieurs terroristes » ont été tués, « dont le chef Mokhtar Belmokhtar. »
Cette annonce n'a pas été confirmée par une source indépendante. Aux Etats-Unis, le député républicain Ed Royce, président de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, est d’avis que si la mort de Belmokhtar est confirmée, « ce serait un sérieux revers pour l'ensemble des jihadistes opérant dans la région. »
Vendredi, lors des obsèques de 27 soldats tchadiens tués dans le Nord malien, le président Idriss Deby Itno avait annoncé la mort d’un autre émir d’AQMI, le tristement célèbre Abdelhamid Abou Zeid, celui-là même qui avait revendiqué la prise d’otage en 2003 de 32 touristes allemands, dont 17 avaient été libérés en Algérie. Cette dernière information n’a pas été confirmée par Paris dont les soldats participent aux opérations.
La France a seulement annoncé la mort d’un troisième soldat français depuis le début de son intervention militaire au Mali. Selon l’armée française, au moins 15 insurgés islamistes ont été tués ou blessés dans les combats.