L’armée tchadienne a annoncé, samedi, avoir tué un chef d’al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), Mokhtar Belmokhtar, dans le Nord du Mali, rapporte l’agence Reuters. Les soldats tchadiens opérant dans le Nord du Mali ont complètement détruit une base terroriste, indique un communiqué lu à la television nationale tchadienne, samedi, et faisant état de “plusieurs terroristes tués, y compris leur leader, Mokhtar Belmokhtar.
Agé de 40 ans, Belmokhtar avait perdu un oeil en se battant en Afghanistan dans les années 90. Il avait revendiqué, en janvier, la responsabilité de la prise d’otages au complexe gazier d’In Amenas en Algérie, et dans laquelle plus de 60 personnes avaient été tuées.
Vendredi, le président tchadien Idriss Déby a annoncé que les soldats tchadiens ont tué 40 autres militants, dont un autre leader d’al-Qaïda au Maghreb islamique, Abdelhamid Abou Zeid, dans la même zone montagneuse près de la frontière algérienne.
La France, dont l’armée mène des raids aériens contre les militants dans cette region, n’a pas confirmé la mort de Belmokhtar ou d’Aboud Zeid.
Les analystes disent que si la disparition des deux chefs d’al-Qaïda au Maghreb islamique était confirmée, elle constituerait un revers pour l’insurrection islamiste dans le Nord du Mali.
“Les deux hommes ont une connaissance étendue du Nord du Mali et certaines parties du Sahel dans son ensemble, et la mort des deux dans un laps de temps si court aura probablement un impact sur les operations des militants”, a expliqué Andrew lebovich, un specialist d’AQMi basé à Dakar, et que cite l’agence Reuters.
Le Tchad et plusieurs pays africains ont contribué des troupes à l’offensive militaire conduite par la France contre les rebelles islamistes qui ont occupies le Nord du Mali il y a près d’un an.
Agé de 40 ans, Belmokhtar avait perdu un oeil en se battant en Afghanistan dans les années 90. Il avait revendiqué, en janvier, la responsabilité de la prise d’otages au complexe gazier d’In Amenas en Algérie, et dans laquelle plus de 60 personnes avaient été tuées.
Vendredi, le président tchadien Idriss Déby a annoncé que les soldats tchadiens ont tué 40 autres militants, dont un autre leader d’al-Qaïda au Maghreb islamique, Abdelhamid Abou Zeid, dans la même zone montagneuse près de la frontière algérienne.
La France, dont l’armée mène des raids aériens contre les militants dans cette region, n’a pas confirmé la mort de Belmokhtar ou d’Aboud Zeid.
Les analystes disent que si la disparition des deux chefs d’al-Qaïda au Maghreb islamique était confirmée, elle constituerait un revers pour l’insurrection islamiste dans le Nord du Mali.
“Les deux hommes ont une connaissance étendue du Nord du Mali et certaines parties du Sahel dans son ensemble, et la mort des deux dans un laps de temps si court aura probablement un impact sur les operations des militants”, a expliqué Andrew lebovich, un specialist d’AQMi basé à Dakar, et que cite l’agence Reuters.
Le Tchad et plusieurs pays africains ont contribué des troupes à l’offensive militaire conduite par la France contre les rebelles islamistes qui ont occupies le Nord du Mali il y a près d’un an.