Prochaine rencontre de pourparlers de paix pour la Syrie à la mi-juin à Astana

From left, TDe gauche à droite, le sous-secrétaire adjoint du ministère turc des Affaires étrangères, Sedat Onal, envoyé spécial de la Russie en Syrie Alexandre Lavrentiev, le ministre des affaires étrangères kazakh Kairat Abdrakhmanov, l'envoyé de l'ONU Syrie Staffan de Mistura et le vice-ministre iranien des affaires étrangères Hossein Jaber Ansari posent pour une photo après la déclaration finale lors des pourparlers sur la paix syrienne à Astana, Kazakhstan, 24 janvier 2017. urkish Foreign Ministry Deputy Undersecretary Sedat Onal, Russia's special envoy on Syria Alexander Lavrentiev, Kazakh Foreign Minister Kairat Abdrakhmanov, UN Syria envoy Staffan de Mistura and Iran's Deputy Foreign Minister Hossein Jaber Ans

Une nouvelle séance de discussions dans les pourparlers de paix pour la Syrie, sous l'égide de la Russie, l'Iran et la Turquie, devrait avoir lieu mi-juin dans la capitale du Kazakhstan, a annoncé samedi l'ambassadeur syrien à Moscou.

Damas a "reçu une invitation à participer à une nouvelle rencontre à Astana, les 12 et 13 de ce mois", a déclaré l'amassadeur Riyad Haddad à l'agence d'Etat russe RIA Novosti.

Parallèlement, deux sources de l'opposition syrienne ont dit n'avoir pour l'instant rien reçu.

La Russie avait fait savoir récemment qu'elle voulait un nouveau round de négociations mi juin, mais sans donner de dates précises. Le Kazakhstan, pays hôte, a dit ne pouvoir "ni confirmer ni démentir" qu'une nouvelle date ait été retenue.

Lors des derniers pourparlers en mai, la Russie et l'Iran, alliés de Bachar al-Assad, et la Turquie, soutien des rebelles, avaient adopté un plan russe visant à créer des zones sécurisées pour instaurer une trêve durable dans plusieurs régions.

On a depuis enregistré une baisse marquée des combats dans ces zones, mais certains problèmes importants restent à négocier.

Selon cet accord, les pays garants avaient jusqu'à dimanche soir pour définir les contours de ces zones, qui sont instaurées avec une validité initiale de six mois avec possibilité de prolongation, et décider quels pays devraient envoyer des forces sur place pour faire respecter l'accord.

Avec AFP