S'agit-il d'un procès "ordinaire et classique" comme le dit la défense, ou d'un cas historique qui mérite une dérogation?
Alger n'a pas encore décidé sur la reconduction d'un contrat d'utilisation d'un gazoduc passant par le Maroc, qui doit expirer le 31 octobre. Au Burkina Faso, le "label" Thomas Sankara devient un business florissant. Au Zimbabwe, huit employés ont été tués dans des explosions de gaz dans une mine.
Ouvert lundi 11 octobre 2021 au tribunal militaire de Ouagadougou, le procès des assassins présumés de l’ex-président Thomas Sankara, mort en 1987, a été renvoyé au 25 octobre. Yacouba Ouédraogo a joint, à Ouagadougou, Prosper Farama, avocat de la partie civile.
Au Burkina Faso, le procès de l’assassinat de Thomas Sankara à été ouvert ce lundi matin à Ouagadougou. Mais aussitôt ouvert, aussitôt renvoyé au 25 octobre prochain. Les avocats de La défense veulent prendre connaissance du dossier. De Ouagadougou, notre correspondant Lamine Traoré.
A peine ouvert lundi, le procès de l'assassinat en 1987 du "père de la révolution burkinabè", Thomas Sankara, alors président du Burkina Faso, a été renvoyé au 25 octobre pour permettre aux avocats de la défense de consulter davantage le dossier.
Plus de 400 personnes accusées de terrorisme au Burkina Faso y compris des mineurs, attendent depuis plusieurs années d’être jugées. Le correspondant de la VOA, Henry Wilkins, s’est entretenu avec des membres de leurs familles.
Le procès des auteurs présumés de l'assassinat de Thomas Sankara, ex-président et "père de la révolution burkinabè", s'ouvre devant un tribunal militaire de Ouagadougou. Mariam Sankara, veuve du président Thomas Sankara, déclare que Blaise Compaoré devrait "avoir le courage d'être là" tandis que Sam
Un procès vivement attendu par les Burkinabè, la famille du capitaine Sankara, des avocats, des organisations de la société civile. Ce procès permettra de savoir ce qu’il s’est passé le 15 octobre 1987 qui a entraîné l’assassinat de l’ancien Président et de 12 de ses compagnons.
Au Burkina Faso, le procès de l'assassinat en 1987 de l’ex-président Thomas Sankara lors d'un coup d'Etat, s'ouvre ce lundi devant le tribunal militaire de Ouagadougou.
L'un des deux principaux accusés, l'ex-président Blaise Compaoré, ne sera pas là.
[Vidéo publiée initialement le 15 octobre 2015] Au micro de Bagassi Koura, envoyé spécial de VOA Afrique à Ouagadougou, l'homme politique Yamba Malick Sawadogo explique comment il a personnellement participé à l'enterrement du père de la Révolution Burkinabè.
Voir plus