Au Burkina Faso, le procès des assassins présumés de Thomas Sankara et 12 de ses compagnons se poursuit. Le premier accusé, Yamba Élisé Ilboudo, un chauffeur militaire au moment des faits, a plaidé coupable mais nie toute implication.
Mardi le premier accusé Yamba Élisé Ilboudo, un chauffeur militaire au moment des faits, était à la barre. Il a plaidé coupable mais nie toute implication, affirmant n’avoir posé aucun acte le 15 octobre 1987 au Conseil de l’entente où Thomas Sankara a été assassiné.
Le 27ème Festival panafricain du cinéma et de la télévision (Fespaco) a pris fin le samedi 23 octobre à Ouagadougou. Le réalisateur somalien, Ahmed Khadar, a remporté l'Étalon d'Or de Yennenga pour son premier long-métrage « La femme du fossoyeur ».
Au Burkina Faso, le procès des assassins présumés du président Thomas Sankara, a repris lundi à Ouagadougou après deux semaines de suspension. Ouvert le 11 octobre ce procès, doit durer de deux à quatre mois.
Le procès des assassins présumés de l'ancien président "révolutionnaire" du Burkina Faso Thomas Sankara, tué le 15 octobre 1987 lors d'un coup d'Etat, a repris lundi à Ouagadougou après deux semaines de suspension, a constaté un journaliste de l'AFP.
Le 27e Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco) se tient en présence des présidents burkinabè et sénégalais. le réalisateur mauritanien Abderrahmane Sissako, président du jury, souligne "une production cinématographique très très riche" qui "montre l’évolution du c
La 27e édition du Fespaco, le festival panafricain du cinéma de Ouagadougou a refermé ses portes samedi dernier après une semaine de festivités. « La femme du fossoyeur » film de Khadar Ahmed de la Somalie a remporté l’Etalon d’Or de Yennenga. Au total 24 prix ont été décernés à des acteurs du monde
C'est le premier long-métrage du réalisateur somalien Ahmed Khadar.
Avec plus de 230 films projetés, la biennale a mobilisé des milliers de cinéphiles.
Les autorités burkinabè ont autorisé jeudi le Conseil norvégien pour les réfugiés à reprendre ses activités, suspendues le 27 septembre pour avoir "jeter le discrédit sur le gouvernement"
Le Fespaco a débuté samedi dernier et se poursuit jusqu’à samedi prochain. La capitale du Burkina vibre au rythme du cinéma africain. Cette année l’engouement autour de l’événement reste mitigé à cause de la situation sanitaire mais aussi de l’insécurité que vit le pays depuis des années.
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